Conte: les vaches enchantées (suite)

Voici la suite du conte où l'on voit Liam et sa mère devenus fort pauvres depuis la mort de leurs deux vaches . Liam cherche désespérement une idée ingénieuse pour sortir sa famille de la misère.
Liam se promène au bord de la mer  pour chasser ses sombres pensées , quand il surprend deux garçons lançant des cailloux à la tête d'un phoque. Avant de plonger dans les vagues, le phoque lance au garçon un sourire de reconnaissance...

Comments

[martine]

Mais c'est bien sûr,je reconnais la cheminée qui t'as inspirée, il y avait même les 2 clous pour suspendre les torchons, nous y étions moins tristes et aussi très bien nourris, auusi bien que les chats!
Qui pense que les enfants n'ont pas parfois envie de pleurer quand ils jouent ou nous regardent avec confiance?
Quant à moi, je peux me souvenir de jalousie, de violence(on refreinait les gestes mais les mots pouvaient partir cingler),de tristesse, du genre de celle qu'un adulte n'a pas envie d'entendre en tous cas pas à ce moment là,et toutes les questionnements de nos penseurs....enfance normale, quoi!

[archie]

Suis souvent étonné de la gravité des contes destinés "théoriquement" aux enfants. Ça montre à quel point notre vision du monde de l'enfance a pu évoluer, ou plutôt s'émousser, devenir "light".

N'empêche ; les dessins servent de supports à toutes ces sensations qui jaillissent dans la tête des mômes. C'est aussi pour ça qu'ils sont indispensables ! Et j'aime bien cette cheminée à l'âtre qui me rappelle une que j'ai connue il y a bien longtemps, avec, presque les mêmes chats ...

[jamana]

J'adore le linge qui suspend et les deux clous qui retiennent le fil à linge. Donc c'est vrai tout ça!

[Gin-seng]

Dans le dernier Telérama, je vois une photo de phoque ("Océans"). Cette photo me confirme le côté humain dans le regard du phoque .
Je n'avais jamais réalisé cela .Ton dessin humanise le regard du phoque.
Je n'ai plus à m'en étonner .
etc. Du coup je me souviens du combat sincère de B.B. pour tirer les bébés-phoques du massacre. vive le phoque.!

[la Mère Castor]

C'est beau. Et triste.