la vouivre (balbutiements et serpent ailé)
Mais voici qu'une autre histoire émerge tandis que la noce bat son plein au son du violon de Quentin.
C'est l'histoire de..., enfin... voilà,...un dimanche matin , comme tous les dimanches, tôt, les villageois installaient leurs marchandises sur la place du marché. Louison, allait d'un bon pas, comme toujours, portant son grand panier remplis de pains chauds sur sa tête. Toujours bon dernier Antoine, tirait sa charrette grinçante sur les pavés pour vendre quelques légumes de son jardin. Il n'était pas paresseux, ho non , mais ses affaires ne marchaient pas fort.
Ce dimanche là, et pas un autre, Louison, en retard dépassa Antoine et elle lui jeta un regard si étincelant qu'Antoine tomba éperdument amoureux de la boulangère."Pauvre de moi "se dit Antoine"Il va falloir que j'aille demander la main de Louison à son père le riche MR Michaufour, avec mes guenilles et pas un rond en poche".
Mais l'amour, voilà ce que c'est: Antoine ne s'imaginait plus vivre sans Louison. Il mit ses plus beaux habits et se mit en route pour demander le mariage au père de celle qu'il avait choisi.
(c'est un jet, c'est sûr que ça va changer à cause des 1001 contraintes, mais c'est parti pour la vouivre)